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La presse parle de Aroéven Nantes - Pays de la Loire

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04/02/2025

[PRESSE] PAYS D'ANCENIS : DES LYCÉEN·NES PASSENT LEUR BAFA

Extrait de l'article du journal Ouest-France – Mathide GENDRON – Publié le 02/03/2021 à 16h02Pour la première fois, à Ancenis-Saint-Géréon, le lycée Joubert-Maillard accueille 24 stagiaires en session de formation Bafa(1). En période de crise sanitaire, ils expliquent leur choix.Un certificat Bafa en poche d’ici quelques mois leur permettra peut-être de trouver un job d’été. C’est ce qu’attendent les stagiaires de cette semaine à l’issue de cette formation du Brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur au lycée Joubert-Émilien-Maillard à Ancenis-Saint-Géréon. L’an dernier, en raison de la crise sanitaire, une première session avait dû être annulée.Un partenariat entre le lycée et l'Aroéven Pays de la LoireBruno Stephan, proviseur du lycée, a signé un partenariat avec l’association Aroéven, encadrant la formation du Bafa dans la commune. Cette semaine, il permet à 22 lycéens et deux jeunes de La mission locale du pays d’Ancenis de passer le brevet à moindres coûts. « Ici, les jeunes sont très engagés dans le conseil de vie lycéenne, fait remarquer Delphine Huteau, formatrice. Six personnes n’ont pas pu s’inscrire à cette session.»Une opportunité pour trouver un job cet étéCe lundi, en plein atelier d’art créatif, les stagiaires doivent créer un spectacle. À l’issue de la journée, il sera présenté au groupe. Chloé, 17 ans, recolle un papier sur son kamishibaï, une illustration théâtrale japonaise. Plus tard, elle veut travailler dans la biologie. Aucun rapport avec l’animation, pourtant la lycéenne passe bien son brevet : « Le Bafa me permettra de travailler l’été. Comme il est en partenariat avec le lycée, c’est moins cher et plus facile d’accès. » Obtenir un emploi saisonnier, c’est aussi ce que souhaite Mathilde, 17 ans, par ailleurs, entraîneuse de basket auprès des enfants : « J’ai envie d’aller faire des colonies. C’est cool, contrairement au métier de caissier. »Beaucoup ont un projet professionnel lié à l’animation ou aux enfants. Clarisse, même âge, travaille déjà au contact des jeunes avec son association de théâtre. Un brevet et une opportunité pour la lycéenne qui aimerait « devenir pédiatre ». Gautier, 18 ans, espère pouvoir travailler dès cet été, mais reste réaliste face à l’incertitude :« Si le Bafa ne me sert pas cette année, il me servira plus tard. » Il aimerait entrer en Staps (Sciences et techniques des activités physiques et sportives) l’an prochain.« L’obtention du Bafa est valorisée par ma filière sur Parcousup, la plateforme d’insertion dans les études supérieures. Je devais déjà le passer en 2020 mais, avec l’annulation, j’ai dû attendre un an de plus », regrette-t-il, en recousant le bouton de sa marionnette. De son côté, Élise scotche une figurine de papier. À la différence de Gautier, elle n’avait pas les 17 ans requis l’an dernier. Même si elle encadre des jeunes, ce n’est pas la seule raison qui l’a poussée à s’inscrire. «Je faisais déjà des colos quand j’étais petite, se souvient-elle. Ça m’a toujours donné envie d’être d’animatrice.»La mission locale du pays d’Ancenis a demandé un partenariat avec le lycée, permettant à Enzo, 19 ans, de candidater. « J’ai un projet de moniteur éducateur, donc le Bafa permet de développer mon CV avec un brevet et une expérience », confie-t-il. Tous espèrent pouvoir travailler dès cet été.Mathilde GENDRON.(1) Brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur

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29/01/2025

[REPLAY VIDÉO] – Conférence sur le climat scolaire

Revivez les échanges de la conférenceArticle publié le 11/10/2023 par le Conseil départemental de Loire-Atlantique.Le Département et l’association FCPE 44 ont invité Éric Debarbieux, Professeur émérite de Sciences de l’Éducation à l’Université Paris-Est Créteil, à apporter ses éclairages sur ce sujet complexe du climat scolaire, le 7 novembre 2023. Le titre de la conférence : “Bien vivre l’École, l’affaire de tous ?”. Un temps d’échanges destiné aux parents d’élèves, ainsi qu’aux membres de la communauté éducative. Visionnez le replay.Delphine HUTEAU formatrice à l’Aroéven a présenté la formation des élèves à la communication non violente menées dans le cadre des actions d’éducation à la citoyenneté portées par le Département.Le sujet de la conférenceCette soirée a permis de comprendre les différentes dimensions du climat scolaire qui, au-delà des simples phénomènes de violences, implique des facteurs assez distincts tels que les relations entre pairs, le climat pédagogique, le sentiment de sécurité ou encore l’appréciation du lieu de scolarité (bâtit). L’occasion également de réfléchir à la notion de cohérence éducative, ou d’alliance éducative, comme levier pour favoriser l’épanouissement des jeunes en milieu scolaire.Les intervenantsAvec la participation d’Éric DebarbieuxÉric Debarbieux est Professeur émérite de Sciences de l’Éducation à l’Université Paris-Est Créteil, Vice-président de l’Association Prévenance, spécialiste des violences en milieu scolaire.Intervention de nombreux acteurs éducatifs locauxAux côtés d’Éric Debarbieux des acteurs éducatifs locaux ont présenté des initiatives menées en Loire-Atlantique. Il s’agit de Christophe Moreau, sociologue du cabinet Jeudevi avec la présentation des résultats de l’étude Programme d’Initiative d’Avenir “Climat scolaire” de la Métropole de Nantes ; d’élèves du collège Pierre Norange qui présenteront un projet de rencontres interculturelles réalisées avec la cité éducative et de l’association Aroéven qui ont présenté la formation des élèves à la communication non violente menées dans le cadre des actions d’éducation à la citoyenneté portées par le Département.

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